Du sang sur la neige
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Barry O'Brien [validée]

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Message  Barry O'Brien Lun 29 Jan 2007 - 1:55

Nom : O’Brien
Prénom : Barry
Âge : 48
Sexe : Masculin
Race : Humain

Métier : Barry a passé toute sa vie à faire des petits boulots, serveur, éboueur, videur, contremaître, cuisinier, mécanicien, revendeur, libraire… La liste est longue. Bien sur à force de flâner de boulot en boulot il n’a aucune spécialité et généralement tout ce qu’il lui passe par la tête le fait avec la vitesse d’un oiseau-mouche sous caféine. Par contre il s’adapte facilement, surtout quand c’est physique. Son dernier boulot consiste à aider à la réparation de véhicules (des camions).

Description Physique :
Barry n’a rien a voir avec un vieil acteur homonyme. Il mesure 1,89m pour un poids de 108 kilos qui se partage entre le muscle et la graisse de catcheur, le genre de graisse qui pendouille pas. Il possède une barbe blanche en collier qui fait le tour de sa bouche, elle est soigneusement coupée. Ses cheveux, également blancs fins et qui se raréfient son plaqués en arrière, il a le grand front des personnes intelligentes, mais de son apparence générale il à l’air las et usé par la vie . Sa gueule est ravagée comme si on lui avait tapé sur les joues avec un maillet à viande (le genre de maillet qui possède une surface constellée de petites pyramides…), ses yeux sont planqués derrières des paupières si lourdes et si épaisses qu’il faudrait écarter avec des écarteurs de chirurgien. Quand il les écarquille, ce qui est rare, on peut voir qu’ils sont bruns. Son style vestimentaire est simple, jeans et cuirs la plupart du temps. Il possède un vieux blouson Redskin customisé avec des patchworks de têtes de morts, de flingues et de serpents. La largeur du dos (et y a de la surface) possède une réplique de panneaux rouge et blanc géant qui indique « TRESSPASSING VIOLATORS ARE ALREADY DEAD ». Il porte des vieilles Ray-Ban pour cacher ses yeux. On compte bon nombre de tatouages, mais c’est vraiment du n’importe quoi usuel (boule N°8, bustes de femmes, dragons, crânes, cartes à jouer, anges).


Profil Psychologique : Bien qu’il soit un américain pur-jus, c’est dans l’adversité qu’on aperçoit ses origines irlandaises et son éducation. Son père lui à toujours dit : « si tu as un doute sur ce gars, cogne lui la tête sur le bar ». Il n’a jamais tué personne, même si il a déjà envoyé bon nombre de petits caïds sur le billard. Il a pour sa part son compte de blessures, la plupart du temps des os brisés, comme les phalanges par exemple. Pas très bavard de nature, il se délie la langue quand il à un peu trop bu et commence à faire le vieux chafouin qui à des idées bien arrêtées sur la politique (« tous des pourris »), sur la l’écologie (« mais on s’en bat l’œil »), les vampires (« des pourris… comme les politiciens… ») et le reste du monde (« mais tu vas me lâcher avec tes idées à la mord moi le nœud ? »). Toutefois sous ses airs détachés et renfrognés, de nombreux gens ont déjà pu compter sur lui pour un coup de main, un dépannage, intimider quelqu’un, etc. On l’a rarement vu avec une femme et la plupart du temps il les traite de loin avec respect. D’aucun pensent qu’il jamais connu l’amour ou qu’il l’a connu mais que ça l’a rendu aigri (« l’amour c’est comme les cacahuètes que tu sers dans ton rade pourri, ça manque de sel »).
Ca va faire 20 ans qu’il tourne en solo, il a vécu quelques temps avec une petites bandes de motards qui traînaient aux abords SkidRow, ils avaient régulièrement des boulots pour la Mafia Italienne, mais Barry à laissé tomber le jour où il a renversé une gamine pendant qu’il effectuait un sale boulot (casser un bras et surveiller des acheminements de caisses dont il ignore encore le contenu), la clouant dans un fauteuil roulant pour quelques années, même la médecine à réussi à la faire remarcher. Par la suite il s’est fait coincé, il ne sait pas qui l’a balancé, mais il a purgé sa peine de cinq ans de prison et à été relâcher pour bonne conduite. Il a depuis remisé sa vieille Harley V-Rod dans un coin de garage, bien à l’appris des regards (un antique bijou et sa colère sera grande le jour où on lui fera du tord). Il n’est pas spécialement croyant mais la seule chose qui pourrait vraiment lui fiche la trouille c’est de se retrouver nez à nez avec Dieu, il à l’habitude de réprimander les blasphèmes. C’est un reste de son éducation.


Biographie : Il est né dans Disctrict Center, une enfance banale, faite de mauvaises notes, de cours séchés, de vol à l’étalage et autres petits vandalismes. Son père est mort il y a cinq ans, Guiness ait son âme, sa mère vis encore dans un quartier miteux de district center, elle s’en fait beaucoup pour son fils chéri et se prive pas de l’engueuler, de le sermonner. Lui il encaisse sans broncher lors de ses visites régulières (« oui maman, oui maman… ») Durant toute sa vie il appris ce qu’un vrai biker doit savoir (une tradition qui se perd en ces temps modernes) : « tenir l’alcool, tenir la baston, réparer une moto, faire peur, respecter ses pairs et ceux qui ont des ********… ». Il lui reste un seul ami Wayne Bert qui tente à chaque fois de le faire replonger dans des coups fourrés. Il à aussi une sœur infirmière, Kelly, qui loge à South Central.
Ne servant plus la Mafia il reçoit régulièrement la visite de membres pour voir si il reste bien muet. La Mafia le perçoit comme une loque qui n’en finit pas de se ruiner au mauvais alcool et le laisse tranquille tant qu’il ne fait pas de vague. Sa vie n’a pas été des plus exemplaire et il la traverse comme un électron libre, dopé au mauvais whisky. D’ailleurs il n’attend plus grand chose de la vie.


Techniques de Combat : Aucune, il sait presser une détente mais de là a avoir une certaine efficacité, c’est plutôt du genre un arrosage au petit bonheur la chance.
Par contre, et si on peut appeler ça une technique de combat, il bastonne avec tout ce qu’il lui tombe sous la main : crique, chaise, clef à bougies, chaîne en acier, tuyaux de plomb, batte, poings et bottes ferrées quand il n’a pas le choix… Il possède un style pragmatique : on cogne sans frimer tant que le(s) adversaire(s) en face ne font « arglblbl » en bafouillant du sang… En gros un mélange de Free-Fight et de Street-Fight.

Pouvoirs : aucun.

Ce que vous aimeriez qu'il arrive à votre personnage :
être pardonné par la famille de la petite fille qu’il a estropié.

(désolé si il y a des fautes... je me suis relu mais je suis toujours un peu tête en l'air)
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Message  Amaël Lun 29 Jan 2007 - 11:54

Un compagnon IRLANDAIS de beuveries, de baston en bar, et anciennement de spaghetti ?! J'ai que deux choses à dire et c'est : baaaaaastooooooooooon généraaaaaaaaale !! happy happy happy

Seulement, j'aimerai beaucoup une bio plus détaillée (48 ans le gars quand même). Puisqu'en règle générale on demande environ 50 lignes + ou -. Des précisions sur sa famille ou son enfance, par exemple, seraient le bienvenu. ^^ (Tiens, et sur Wayne) (Parce que comme ça, plus j'en sais sur votre perso, plus je pourrai lui faire des surprises :])

Petit rappel : quand je réponds à une fiche de la sorte, tant que vous ne voyez pas écrit noir sur blanc "fiche validée" chez moi, c'est qu'elle n'est pas validée. Et aussi, lisez bien les règles. :)
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Message  Barry O'Brien Jeu 1 Fév 2007 - 3:05

Biographie : Il est né dans Disctrict Center, une enfance banale, faite de mauvaises notes, de cours séchés, de vol à l’étalage et autres petits vandalismes. Son père était chauffeur de poids lourds et sa mère faisait des ménages à domicile pour gagner de l'argent. Après avoir quitté l'éducation Barry a foutu le camp avec quelques amis pour rejoindre une bande qui faisait du marchandage de contre façon, le genre de camelotte à deux sous fabriqués dans le sous-sol des bouges spaghetti. Bien sûr tout fini par se savoir et ses parents ne voulait plus d'un fils irresponsable. Sa soeur avait poussé l'histoire dans ce sens et depuis ce temps elle est très distante avec son frère. Son premier vrai boulot a 21 ans sera de casser des nez à l'entrée (ou a la sortie) de night club en qualité de videur. C'est ainsi que par accident il démoli le nez du chef de la bande des Skullz Chopperz, une bande de motard qui voulait s'inviter. Il finira au tapis seulement après avoir sérieusement amoché le chef de la bande et deux autres membres et après avoir reçu quelques coups de matraques insistants. Néanmoins ce tour de force inscrit la première ligne de son CV en temps que "Skullz" c'est à dire membre de la bande. En effet peut après cet incident, Matt "Score" Connor, le chef des Skullz vient le trouver pour lui proposer un vrai boulot, on lui file un peu de cash, une vieille Harley V-Rod rouillée, un Squat aux abords de Skid Row en échange de sa loyauté à la bande. Il signe avec son sang et devient ainsi le 21eme Skullz, alias Barry's "Bonebreaker" O'Brien (les fractures sont vites remarquées comme étant sa spécialité). S'ensuit un long parcourt initiatique qui alterne entre les petits boulot de truandes (braquages de véhicules, visites nocturnes dans les quartiers résidentiels, acheminements de colis louches et récupération de marchandises), une bonne partie du temps il se voit entrain de bastonner à SkidRow pour préserver son squat car il y répare sa V-Rod avec les conseils réguliers de Wayne "Snake" Bert, le plus social des Skullz, le cerveau (trop) rusé de la bande. Il rencontre vers 22 ans une strip teaseuse, nommée Annie, leur relation commence de façon assez banale, c'est une paumée et c'est un rebel, donc il font rapidement bon ménage. Ils se voient rarement, et les rares fois, elle essayera de lui taxer de plus en plus d'argent. Barry en a déjà marre au bout de deux mois et finit par prendre sur lui. Il l'emmene sur sa bécane et la balance dans un quartier de prostituée lui précisant que si elle voulait continuer a se payer sa drogue et le reste, elle aurait qu'a bosser comme tout le monde. Inutile de préciser que la dernière fois que Barry à vue Annie, c'était le cul sur le bitume le visage rouge de colère. Heureusement en repartant le bruit de la harley à couvert beaucoup de jurons dans son dos.
Les choses évoluent plutôt bien pour lui, il arrive à se faire assez de cash pour changer de crèche et acheter les pièces onéreuse pour le V-Rod, il est désormais un membre respecté des Skullz, et même si il ne parle pas beaucoup, ses poings sont toujours devant quand il le faut.
Les Skullz Chopperz se font de plus en plus de fric et Barry apprend qu'ils font à présent une sorte de sous traitance pour la mafia italienne, ce qui implique de faire des boulots plus sales, plus déloyaux et plus discret. Rien de bon pour un "honnete" biker.
A 27 ans lors d'un convoyage, Barry qui roulait en tête de peloton pour débusquer les embrouilles renverse une gamine. Il s'arrête pour se dépecher d'agir, la situation l'oblige à fermer les yeux sur une file de voitures Yakuza. Barry n'ayant pas eu le temps de prévenir les siens, une confrontation éclate entre les ritals et les japs, la mission est un fiasco. Tout le monde se repli et Bonebreaker se fera souffler dans les bronches. Il quittera la bande sans un mot avec un profond sentiment d'avoir merdé, il se fera menacer durant cette courte période. Car deux mois plus tard il est balancé chez des flics ripoux et mis en tôle pour 5 ans. Wayne (qui pourrait ressembler à Lemmy Kilmister de Mötörhead) viendra le voir régulièrement en tôle et capte très vite dans le regard de Barry cette petite lueur familière qui signifie qu'il est à deux doigts de faire très mal. Il sait que Barry à été balancé en tôle sous la demande express des mafiosos et plus particulièrement d'un petit chef nommé Luciano Raphaelo. Barry purgera sa peine en encaissant sans broncher et Wayne le soutient encore.
Sorti de tôle a 33 ans, Bonebreaker retrouve sa Harley (auparavant planquée chez sa soeur à south central en échange d'un petit paquet de pognon). Il la repeint pour dégager les couleurs des Skullz et adopte le noir mat à bande blanche d'une célèbre marque de whisky qui lui vaudra son nouveau surnom "Black Label". De son coté Wayne en a marre que les Skullz crèvent sur leurs bécanes en se faisant percuter par des yakuzas ou d'autres ennemis de la mafia ritale locale et que pour compenser les pertes on les force à bosser avec des jeunes qui ne savent même pas tenir sur une brêle.
Wayne retrouve Barry un peu partout et chaque fois dans des jobs différents (les genre de jobs qu'on attribue aux repris de justice, fast food, nettoyage, etc...). Il essaye de lui expliquer pourquoi ça merde, pourquoi l'esprit biker à foutu le camps et que les ritals ou les yakuzas ont tué l'esprit de la bande. Il essaye de monter des coups pour deux, mais Barry le jette sans aucune explication à chaque fois.
vers 37 ans Barry retournera voir ses parents et demandera pardon pour ses fautes. Il est rentré un peu dans des rails, bosse, et file une partie de son argent à sa famille en signe de bonne foi, il vit ainsi un bon moment entre les tentatives de Wayne pour "relancer" les petites affaires, les petits boulots minables et le whisky à deux sous. Il est surveillé durant ce temps sans vraiment y préter trop attention. Visiblement son alcoolisme chronique penche en faveur de sa survie. Le temps passe ainsi dans une routine déprimante.

Durant sa 43ème année, il apprend que son père décéde d'une crise cardiaque et il décide de se rapprocher de sa mère qui vit encore dans un quartier miteux de district center, elle s’en fait beaucoup pour son fils chéri et se prive pas de l’engueuler, de le sermonner. Lui il encaisse sans broncher lors de ses visites régulières (« oui maman, oui maman… »). Il a passé ces deux dernières années à repriser les liens avec sa soeur Kelly (infirmière à South Central)

Il reçoit régulièrement la visite de membres de la mafia pour voir si il reste bien muet. La Mafia le perçoit comme une loque qui n’en finit pas de se ruiner au mauvais alcool et le laisse tranquille tant qu’il ne fait pas de vague. A cette heure les Skulls Chopperz ont une nouvelle personne à leur tête (dont Wayne soupçonne que c'est un vampire), ce n'est plus une bande de motards, c'est une bande tout court (certains anciens motards des Skullz et des ritals en berlines), la Soeur de Barry est surveillée et sa mère. Et Wayne en marre. Tout fout le camp. C'était mieux dans le passé.

Un soir comme un autre, dans un rade nommé "Café Racer", un juke box distille des musiques ancestrales : Judas Priest, Black Sabbath, Mötörhead, Alice Cooper... Barry sirote son whisky en attendant...

(nouvelle version)
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Message  Amaël Jeu 1 Fév 2007 - 12:02

J'adore !! happy *Note les Skullz, ça va être fun des biker pour les italiens !!*

Fiche validée :D

Si j'ai bien compris tu vis à Skid Row, je crée un topic là-bas, tu me passes une description des lieux quand tu pourras et sinon : bon jeu ! :)

*Ce serait Kelen que ça m'étonnerait pas hihi *
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