Rosso Lacrima [Validée]

Nom : Lacrima
Prénom : Rosso
Âge : 27ans.
Sexe : Masculin
Race : Humain

Métier : Inspecteur de police (ou Larbin pour ses supérieurs ? On hésite…)

Description Physique :

Rosso n’est pas franchement de ce type d’homme qu’on remarque au premier coup d’œil. De taille moyenne, et plutôt maigre, il se fond dans la masse avec aisance, comme un grand nombre de personne. Tout son corps est sec et noueux, musclé par des années de sports intensif mais cependant, il ne possède pas de véritable force physique. S’il coure vite, ses poings ne feront sans doute jamais mal.

Pour parler de son visage, la première chose qui nous vient à l’esprit est là aussi de dire que rien ne le démarque beaucoup des autres. D’un ovale assez prononcé, le tout est fluide, ni particulièrement beau, ni particulièrement laid. Son nez se trouve assez bien placé pour donner à ce visage féminin un peu de relief masculin. Ses yeux sont d’un marrons déjà-vu mais pas dénué d’intérêt avec leurs reflets tirant sur le ver t et parfois sur le jaune. Malgré tout, il les cache derrière des lunettes fantaisistes aux verres violets. Ce qui s’avère parfait pour cacher les longues cernes qui courent souvent sous ses yeux. Rosso porte aussi les cheveux longs, qu’il a châtain, jusqu’au milieu des joues. Le tout lui donne un éternel air d’adolescent, un peu androgyne.

Sa faible constitution et son teint pâle le font parfois passer pour maladif, même s’il se porte en général comme un charme, n’étant pas enclin à tomber malade rapidement. Astuce cependant très utiles lorsqu’il souhaitait s’éclipser des salles de classe en feignant la maladie.

On ne peut pas lui donner un charme fou, même s’il n’en est pas dépourvu, ni lui louer une quelconque beauté. Comme il se plait à le dire lui-même « Je suis une personne banale ».

Profil Psychologique :

Depuis son enfance, le petit Rosso a évolué. Certes oui, comme tous les enfants qui grandissent. Mais en conservant tout les traits qu’il avait bambin pour les adapter à l’âge adulte et à la rigueur d’un métier comme les siens. D’un naturel toujours aussi timide, il n’hausse pas souvent la voix, même si celui lui arrive parfois, en cas d’extrême colère.

Son bégaiement maintenant disparu est cependant la preuve d’une reprise de confiance en soi. Et s’il n’est toujours pas très à l’aise dans les conversations, il ne rougit presque plus et ne perd plus ses moyens quand un inconnu, une femme ou un de ses supérieurs vient lui adresser la parole. Son caractère s’en ressent, un peu plus affirmé que quand il était enfant, mais pas moins embarrassé assez rapidement.

Si Rosso était niais et rêveur de par le passé, il est maintenant particulièrement terre à terre. Son métier l’ayant confronté à des choses qu’on n’imaginerait pas, que sa sottise s’en est envolée, au même titre que son innocence d’enfant. Et pour se protéger de tout ce qui pourrait l’atteindre, il a élevé de profonde barrière en lui. Ce qui fait parfois suggérer aux personnes qui le connaissent bien que sa timidité serait plus feinte qu’autre chose.

Impossible à savoir, car le bougre est secret. Ne parlant pas beaucoup, encore moins quand vient le sujet de sa propre vie, on ignore parfois jusqu’à son prénom, ne l’appelant qu’Inspecteur Lacrima. Ces collègues, d’ailleurs, vous le décriront, unanimes, comme un enquêteur méticuleux, sérieux et ne lâchant jamais un morceau quand il a décidé de le ronger. S’il préfère laisser les interrogatoires aux autres, c’est un chef en matière, quand vient le temps d’aller sur le terrain. Plein d’une justice idéal depuis qu’il est enfant, il ne se laisse pas corrompre et décèle le mensonge rapidement.

D’aucuns vous dirons qu’avec un peu de violence et plus de caractère, il serait déjà haut-gradé.

Biographie :
Le petit Rosso Lacrima est né un jour banal, d’une semaine banale, d’un mois banal parmi une année banale. Voilà de quoi lui profiler une existence, vous l’aurez deviné, banale.

Parlons d’abord de son prénom. Dans la belle et grande famille Lacrima, dont il est le quatrième fils avec deux sœurs plus âgées, le nom du dernier né est choisit par les grands parents. Mais voila, Pépé Lacrima, dixit les enfants et les parents, sait à peine lire et encore moins écrire. Et quand on lui demande de trouver un prénom pour le garçon, il se prend pour un poète, nous sort un Rouge Larme d’un goût douteux mais oublie de l’accorder, faut pas lui en demander beaucoup le pauvre, et écrit Rosso, au lieu de Rossa.

Déjà mal partit dans la vie, avec ce nom qui provoque l’hilarité de sa famille, et de tout ce qui se fait en matière d’italien dans le coin, il s’avère en plus maladroit, timide, presque bègue et complètement niais. Pour le faire devenir plus ‘masculin’ et plus affirmé, son père le force à prendre des cours de boxe, et autres sports de combats. Peine perdue, dès qu’il prend un coup, Rosso court dans les jupes de sa mère en pleurant. Mère qui l’adore, ceci dit.

Son père, dix ans après avoir engendré celui qui lui cause tant de problème, décide de l’arracher à sa génitrice et à son enfance une bonne fois pour toute. Cette fois-ci, la tentative n’est pas vaine. Après vingt essais infructueux, il arrive à refourguer à quelqu’un qui se chargera de l’éduquer dans les nobles valeurs de la masculinité. Un oncle capricieux qui doit de l’argent à la famille, pour l’information. Celui-ci accepte uniquement pour voir sa dette effacer, lui les mômes, c’est pas son truc, un petit pleurnichard encore moins.

Mais il ne s’en sort pas trop mal, le bougre. Pas qu’il fasse de son neveu un génie de la boxe, un dur parmi les durs, mais il lui apprend que pleurer intérieurement et donc, en silence, c’est parfait pour tout le monde. En lui piquant son doudou et en promettant de lui rendre quand il aura réussi à blesser un de ses camarades de classe, drôle de famille, il lui apprend la persévérance. Mais aussi involontairement, le goût amer de l’injustice, et son contraire, pour qui il commence à se battre rapidement. Tonton Lacrima (que voulez-vous, ils n’ont pas d’imagination pour les surnoms dans cette famille) lui apprendra aussi qu’un gros chien sa mord, et que quand on se fait courir après par un dit gros chien, un arbre est une mauvaise solution, puisqu’on ne peut plus descendre. De ce fait, Rosso à apprit à courir très, très vite, pour fuir le méchant gros chien de son oncle adoré.

Revenu dans sa famille à l’âge de 17 ans, un peu plus débrouillard qu’avant, ses parents sont absolument heureux. Leur fils serait-il devenu un vrai Rosso ? Pas quand il leur apprend son intention d’entrer dans la police, en tout cas. Le voila à nouveau expulser et… il retourne chez son oncle. Personne qui a tôt fait de l’envoyer dans un pensionnat, lui non plus, en effet, n’aime pas trop la police. Allez savoir pourquoi…

Rosso passe le reste de ses jeunes années dans cet endroit, où ses jambes se révèlent très utiles pour fuir les garnements qui lui veulent du mal, et se démêle admirablement bien dans ses études. Il entre à l’école de police, qu’il finance en travaillant comme serveur dans un bar-discothèque minable, et au fur et à mesure des années, arrive à obtenir son diplôme et son accréditation d’inspecteur.

Tout n’est pas rose pour autant. Méprisé par ses supérieurs, mais aussi par ses collègues, il apprend par hasard que son oncle adoré trempe dans des affaires un peu louches, et comprend que ça lui retombera dessus un jour. La terrible idée qu’un jour celui-ci lui demande de maquiller je-ne-sais quel crime sordide commence alors à le ronger.

Peu à peu, il arrive à se faire respecter dans son milieu. Son talent pour la course, qui lui permet d’attraper pas mal de gros méchants pas beaux criminels, et son habilité à résoudre les affaires en fond un inspecteur de talent, malgré tout. Sa vie reste toujours aussi monotone et ‘banale’ que depuis sa naissance, et il ne rêve que de voir débarquer un extra-terrestre ou une affaire importante pour mettre un peu de piment dans sa vie.

Techniques de Combat : Il manie assez bien les armes à feu, avec une préférence pour ce qui est semi-automatique. A l’école de Police, on lui a appris à se servir aussi de ses poings, et d’armes blanches, mais sa faible constitution physique rend la chose trop compliqué pour lui. S’il arrivait ne serait-ce qu’à placer un coup de poing dans la figure de quelqu’un, celui-ci n’aurait absolument pas de mal à s’en remettre, c’est dire.

Pouvoirs : A ce qu’il en sait, aucun.

Ce que vous aimeriez qu'il arrive à votre personnage :

Ce qu’il craint par-dessus tout, que la mafia lui demande des comptes, ou bien ce qu’il veut absolument, qu’il se passe quelque chose d’intéressant dans sa vie.

(Pour faire plus simple, j'ai posté ma fiche directement, à vous de voir si vous souhaiter rectifier quelque chose.)

Pour moi ça va ^^ *je dirais, fiche validée donc*

Chouette, un flic avec un oncle mafiosi, je vais aimer t'embêter